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Centre Communal d’Action Sociale

La commune de Thuir place depuis de nombreuses années la solidarité au cœur de sa politique.

Le service

Service Social (CCAS)

Accueil au rez-de-chaussée
de la mairie

Contacts
04 68 84 67 89
ccas@thuir.fr

Horaires d'ouverture
Sans rendez-vous : lundi, mercredi et vendredi de 8h à 12h
Sur rendez-vous : Mardi et jeudi (sauf urgence)

Élu référent

Raymond LEMORT

Adjoint

Délégué au Social
et à la Solidarité

Le Centre communal d’action sociale (CCAS) de THUIR est un service public administratif d’aide, d’orientation, d’accompagnement et de soutien.
Le CCAS propose un ensemble de prestations pour remédier aux situations de précarité ou de difficulté sociale touchant notamment les familles, les personnes âgées, les personnes sans emploi et les personnes en situation de handicap.

Le public de la commune y est conseillé sur les droits sociaux, orienté vers les partenaires locaux ou directement pris en charge.
Le CCAS se mobilise principalement dans la lutte contre l’exclusion (notamment aides alimentaires) et le soutien au logement (notamment des personnes âgées et des familles en difficultés).

Missions

  • Accueil et orientation du public,
  • Aide au maintien à domicile en faveur des personnes âgées en les informant sur leurs droits, en tenant compte de leur souhait afin de mieux les orienter et lutter contre l’exclusion (préparation à l’entrée en institution),
  • Gestion de la télé-alarme et portage de repas en relation avec la Communauté de communes.

Grands domaines d’action

  • Retrait et instruction des dossiers relatifs à l’aide sociale légale (RSA, Complémentaire Santé Solidaire, Services ménagers à domicile, placements en Maison de retraite…)
  • Maintien à domicile, la santé, le social et l’aide sociale facultative.
  • Action sociale et générale de prévention et de développement social de la commune partenariat et complémentarité avec les associations caritatives, d’aides à domicile et l’EHPAD « Simon Violet Père ».

 

Fiche pratique

Repos quotidien du salarié

Vérifié le 10/02/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Tout salarié doit bénéficier d'une période de repos quotidien entre 2 journées de travail. La durée légale de repos est d'au moins 11 heures consécutives. Cependant, des dérogations à cette durée peuvent être fixées par convention ou accord. Les salariés de moins de 18 ans bénéficient d'une durée de repos plus élevée.

Tout salarié bénéficie d'un repos quotidien minimal entre 2 journées de travail.

Le repos quotidien est d'au moins <span class="miseenevidence">11 heures</span> consécutives entre 2 journées de travail.

 Attention :

aucune durée légale minimale n'est imposée aux cadres dirigeants.

  • Certaines activités permettent de ne pas appliquer la durée du repos quotidien de 11 heures.

    C'est le cas des activités suivantes :

    • Activités caractérisées par l'éloignement entre le domicile et le lieu de travail ou entre différents lieux de travail du salarié
    • Garde et de surveillance et de permanence caractérisées par la protection des biens et des personnes
    • Activités nécessitant d'assurer la continuité du service ou de la production
    • Manutention ou exploitation concourant à l'exécution de prestations de transport
    • Activités s'exerçant par périodes de travail fractionnées dans la journée

    La durée minimale de repos est alors fixée par convention ou accord d'entreprise ou d'établissement.

    Toutefois, la durée de travail ne peut pas être supérieure à 9 heures consécutives.

    La non-application de la durée légale du travail est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • En cas de surcroît d'activité, une convention ou un accord d'entreprise peut prévoir une réduction de la durée du repos quotidien.

    Toutefois, la durée du repos quotidien ne doit pas être inférieure à 9 heures consécutives.

    En l'absence de convention ou d'accord, l'employeur peut ne pas appliquer la durée légale de repos quotidien, après autorisation de l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • L'employeur peut ne pas appliquer la durée de repos quotidien lorsque les travaux urgents suivants doivent être effectués sans attendre :

    • Mesures de sauvetage
    • Prévention d'accidents imminents
    • Réparation d'accidents survenus au matériel, aux installations ou aux bâtiments

    L'employeur reste tenu d'en informer l'inspecteur du travail.

    La dérogation à la durée légale est possible à condition d'accorder au salarié une période de repos au moins équivalente.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 12 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune âgé de 16 à 18 ans <span class="miseenevidence">entre 22 h et 6 h</span>. Cependant, des <a href="https://thuir.fr/solidaire/presentation-ccas/?xml=F1688">dérogations</a> existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.

  • La durée minimale du repos quotidien ne peut pas être inférieure à 14 heures consécutives.

     À noter

    il est interdit de faire travailler un jeune de moins de 16 ans <span class="miseenevidence">entre 20 h et 6 h</span>. Cependant, des <a href="https://thuir.fr/solidaire/presentation-ccas/?xml=F1688">dérogations</a> existent pour certains secteurs d'activité ou dans des situations d'urgence.