BLOCUS
Théâtre du Gecko
(Thuir, France)
Première à Thuir !
Date
Samedi 29 mars
Horaire
20h30
Durée
1h30
Genre
Théâtre, danse
L’intrigue de cette satire sociétale se déroule dans une ville imaginaire d’un pays d’occident dont la seule activité économique tourne autour d’une fabrique alimentaire.
Le mode économique et social en circuit fermé basé sur la production et la consommation de denrées alimentaires divise la société en trois couches : une classe riche, dirigeante ; une classe moyenne ouvrière ; une classe pauvre assignée à la gestion de l’immense déchetterie qui ne cesse de grossir aux portes de la ville.
Une lycéenne va venir perturber le parfait fonctionnement de cette mécanique qui paraissait si bien huilée.
Les jeunes pourront-ils transformer un système au déterminisme social étouffant où tout espoir en un avenir plus juste paraît illusoire ?
Un spectacle vivant, jeune, dynamique, nécessaire !
A propos…
Le théâtre du Gecko est une troupe professionnelle thuirinoise créée en 2001. Frédéric Noguer en reprend la direction artistique en 2021.
Elle n’a eu de cesse de porter une vision humaniste d’un théâtre contemporain populaire, accessible à tous et qui pose les questions de son temps.
Les grands axes du travail de la compagnie se fondent sur des problématiques sociétales fortes et une dramaturgie contemporaine inédite en langue française accompagnée d’un volet théâtre forum.
Un texte politique fort et plein d’humour.
La réflexion sur nos nouvelles sociétés.
Un texte qui interroge notre « sentiment d’impuissance collective ».
Adapté de « Matkriget », une pièce de Johanna Emanuelsson.
Traduction et mise en scène : Frédéric Noguer.
Comédien.nes : Zia Lebot, Salomé Dugraindelorge, Aurélien Pawloff, Laure Descamps.
Assistant, dramaturge et regard complice :Tristan Bruemmer
Compositrice : Angèle Osinski,
Chorégraphe : Alicia Ros,
Scénographie : François Tomsu,
Costumes : Eve Meunier,
Lumières : Magali Pagès.
Photographie et conception graphique : Greg Calvache
La salle vacille entre rire et grincements de dents tant elle se reconnaît et se projette dans ce texte qui n’épargne personne.